Washington doit se poursuivre en justice pour les mineurs agressés lors des soirées de P. Diddy

Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe, aborde l'affaire du rappeur afro-américain Sean Combs, connu sous le nom de P. Diddy, inculpé en septembre pour avoir mis en place un système de trafic sexuel et d’extorsion.
Sputnik
"Pendant des décennies, les crimes les plus odieux ont été commis en public lors de ces soirées organisées par Combs, où les "grands" de la morale libérale cherchaient à entrer comme dans le jardin d’Eden. Et ce n’est apparemment que la pointe de l’iceberg. La pire chose sous l’eau, c’est la pédophilie, la maltraitance des enfants", écrit Maria Zakharova sur Telegram.
À cet égard, la diplomate pose la question: "Peut-être que Washington, soi-disant préoccupé par le sort des enfants ukrainiens, devrait-il enfin s'occuper des siens? Intenter des poursuites contre lui-même, contre des agences gouvernementales qui ne pouvaient pas ignorer ce qui se passait lors de ces soirées pédophiles depuis des décennies?" Selon Maria Zakharova, toute l’Amérique était au courant de ces "fêtes".
Par ailleurs, les participants "élaboraient régulièrement l’agenda dominant, y compris international": par exemple, l’acteur Ashton Kutcher prône un renforcement des sanctions contre la Russie et la condamnation de Moscou, et la chanteuse Kelly Osbourne "défend les néo-nazis de Kiev".
"Il est désormais clair d’où vient une telle passion pour la politique étrangère de l’État profond américain: tout cela n’est qu’un écran de fumée, une diversion pour éviter la chute sans fond d’une société dont l’élite viole des enfants", conclut-elle.
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