Le mouvement chiite continuera à soutenir la bande de Gaza et sa défense du Liban en ne "reculant pas", a déclaré dans une allocution Naïm Qassem, secrétaire général adjoint du groupe.
"Notre système de direction continue de fonctionner comme Nasrallah l’a légué. Tout est encore là, il existe des plans alternatifs", a-t-il souligné.
La position du mouvement ne devrait pas non plus se radicaliser, a pour sa part affirmé à Sputnik Alexei Khlebnikov, spécialiste des questions du Moyen-Orient.
"L'expérience montre que la liquidation d'un leader ne conduit pas à la disparition du mouvement. Il s'agit d'une force politique plus profonde au Liban, qui a son propre soutien, son histoire. En règle générale, la liquidation n'entraîne ni une radicalisation brutale ni une pacification brutale", explique-t-il.