"Il va falloir que la CEDEAO puisse intégrer certaines dimensions, par exemple les revendications avancées par ces trois pays qui disent que la CEDEAO ne serait plus cette CEDEAO qui défend la stabilité économique, politique et sociale de la sous-région", a avancé Abdoul Sacko.
L'organisation devrait prouver que sa première vocation est de "défendre et de promouvoir la stabilité, économique comme politique, et d'aider des pays au niveau de la sous-région", ajoute-t-il.
Le militant appelle tous les pays à travailler pour comprendre les préoccupations des pays de l'AES. Pour lui, cet effort est nécessaire pour rendre l'espace commun plus fort et "autonome des intérêts géopolitiques".