Il a expliqué ce choix par les perspectives qui s'ouvrent pour la Russie, un pays qui, selon lui, va dépasser les autres en termes de développement d'ici cinq à dix ans.
De plus, le jeune homme originaire de Douala est attiré par les positions morales proches des Russes et des Africains. Il a pu le constater dans son pays à travers les émissions de Sputnik et de RT et s'en assuré une fois à Lougansk.
L'étudiant est actuellement en année préparatoire pour maîtriser le russe. Un vrai défi qu'il compte surmonter grâce à la persévérance et à l'assiduité. Il entamera ensuite son master en gestion et aspire à décrocher par la suite un emploi à Lougansk, qu'il trouve "très paisible", ou dans une autre ville russe.
L'arrivée d'Epo Eke Max Laplace est aussi une source de satisfaction pour l'établissement d'enseignement, a fait valoir le vice-recteur aux Relations internationales. L'université élargit ses engagements internationaux et enregistre des demandes venant entre autres du Nigeria et de Sierra Leone, a ajouté Alexandre Klouïev.