Il n'exclut pas que cela fasse partie "des demandes, des preuves, des points qui ont motivé la décision française".
"Est-ce que Macron a agi seul? Ce que je ne pense pas ou à la demande de tiers, et je verrai assez bien Macron obéir là comme ailleurs aux injonctions qui y sont formulées, non pas par les États-Unis d'Amérique en général, mais par une coterie à l'intérieur des États-Unis d'Amérique, ce que l'on appelle l'État profond, qui a des connexions étroites avec les démocrates américains", raisonne le politicien.
De plus, M.Asselineau pointe une coïncidence "troublante" de cette interpellation avec la fuite de données sensibles du ministère israélien de la Justice. Ce dernier a fait l'objet de piratage et "l'État israélien essaie de faire tout son possible pour empêcher Telegram de diffuser ces informations", indique-t-il.
Il note également la différence d'attitude envers les patrons de Facebook* et Telegram: "Monsieur Zuckerberg est complètement aligné sur le narratif atlantiste dans tous les domaines, lui, on ne lui cherche pas des noises".
*Meta (Facebook et Instagram) est interdite en Russie pour activités extrémistes