Il a rappelé que la création des Nations unies à une époque où seuls deux ou trois pays africains étaient indépendants a contribué à ce déséquilibre.
C'est d'autant plus important que "70% de l’ordre du jour est consacré aux problèmes africains" et que les nations du continent représentent plus d’un quart des voix aux Nations Unies, a-t-il ajouté.
Dans le même temps, toute extension du Conseil de sécurité devrait être envisagée avec prudence, alerte le diplomate russe.
"La composition est déjà faussée en faveur de l’Occident, et en même temps nous assistons à des tentatives d’admission au statut de membre permanent de deux autres pays occidentaux comme le Japon et l’Allemagne", a-t-il expliqué.