Parmi les 16 personnes libérées par la Russie, on trouve ceux qui ont été accusés d’espionnage, ainsi que l’opposant Vladimir Kara-Mourza qui avait une green card des États-Unis, rappelle l’expert.
Cela signifie qu’il y avait une relation spéciale entre lui et le gouvernement américain, dont Washington ne veut peut-être pas parler ouvertement.