Entré en vigueur ce 10 juillet, le nouveau plan est prévu pour durer 5 ans, selon le ministre de l’Agriculture.
Le programme sera financé à hauteur de 40%, soit 287 millions de dollars, par des partenaires. Le secteur privé contribuera à hauteur de 30%, soit 215 millions de dollars, relate The New Dawn. Le reste proviendra de l’État et de la participation des petits exploitants agricoles.
Les interventions prévues seront axées sur le développement des filières riz et manioc. Le cacao, le café, la noix de coco et l’hévéa figurent également dans le programme.