Selon lui, La France Insoumise, qui prône une attitude modérée dans le soutien de Kiev, pourrait "repartir dans l'opposition" face notamment au Parti socialiste.
Le Rassemblement national, arrivé troisième au terme du second tour, "s'oppose à l'envoi de troupes en Ukraine et est plus favorable à une espèce d'approche plus mesurée et ouverte à la discussion avec la Russie", rappelle-t-il.
Dans ce contexte, M.Asselineau estime que les résultats des législatives "donnent de vains espoirs à une partie de la population". Il est donc possible "que ça se traduise par un des troubles plus chroniques en France".
"Je ne privilégie pas forcément l'idée d'un chaos général. Si chaos il devait y avoir, c'est dans la rue que ça se passerait, ça ne serait pas forcément à l'Assemblée nationale", conclut l'homme politique.