"C'est un laboratoire qui vient renforcer les capacités du Laboratoire national de référence et de l'INSP. Il va servir non seulement pour la surveillance, mais aussi pour le diagnostic, et permettra d'intervenir dans les régions éloignées où ils n'ont pas de capacités de diagnostic en cas de suspicion d'une épidémie", a déclaré le chef de l'Institut.
Les appareils que contient le laboratoire serviront "à faire des tests biologiques très poussés", renchérit-il.
Le Dr Nyandwi souligne également la nécessité de former du personnel local qui pourra utiliser les équipements à bon escient, ainsi que des chauffeurs qui assureront la maintenance du véhicule sur lequel est monté le laboratoire.
"Dans ces cas là, il y a besoin d'un accompagnement par la partie russe", indique le chef de l'INSP.