"La Russie est un fournisseur majeur de céréales et d'engrais et les restrictions commerciales perturbent les flux de ces produits essentiels", a-t-il expliqué.
Cette situation risque d'entraîner une hausse des prix des denrées alimentaires et des intrants agricoles, "exacerbant l'insécurité alimentaire dans les pays africains les plus vulnérables", a poursuivi Oleg Kobiakov.
La FAO a pour sa part "atténué ses impacts et facilité des voies alternatives de commerce en renforçant la résilience des systèmes alimentaires locaux", a signalé M. Kobiakov.