"La question de multipolarité revient. Parce qu'à partir du moment où l'on est resté concentré sur le Swift, vous voyez aujourd'hui, on va payer le prix de ne pas avoir ouvert l'horizon", a-t-elle dit.
"Je suis convaincue et je compte sur la Russie, sur le grand Poutine" pour une telle solution qui pourrait être trouvée rapidement au sein des BRICS, a-t-elle affirmé.
En outre, le pays africain est intéressé à coopérer avec la Russie dans d'autres domaines, notamment celui de l'agriculture. Ce partenariat pourrait aider le Togo à atteindre des "productions beaucoup plus importantes". Les engrais, la mécanisation et les techniques culturales sont également dans le viseur de la partie togolaise.
"Nous allons travailler dans la durabilité avec la Russie", a conclu Mme Bitho.