Selon Ahmed Samir, les acteurs des secteurs public et privé égyptiens, ainsi que la Banque centrale du pays, discutent de la possibilité d’"explorer les moyens de règlements commerciaux entre les deux pays en monnaies nationales et trouver un mécanisme pour les mettre en œuvre".
De plus, un projet de hub céréalier a été déjà envoyé au ministère russe de l'Agriculture par voie diplomatique.
"Récemment, une discussion a eu lieu entre l’Égypte et la Russie pour explorer la possibilité de créer une plate-forme logistique pour le stockage des céréales et créer de l’industrie de meunerie dans l'une des régions de Port-Saïd, Damietta ou Ain Sokhna", a déclaré le ministre.
L'une des plus grandes entreprises égyptiennes mène actuellement une étude de faisabilité préliminaire.