La confrontation a reçu une perspective globale car l'Occident cherche à y engager les pays de la majorité mondiale en cherchant à limiter leur coopération avec la Russie.
La rencontre prévue en Suisse les 15 et 16 juin n'est pas d'examiner, comme on le prétend, des possibilités de régler le conflit en Ukraine mais d'élaborer et de présenter à la Russie un ultimatum inacceptable, a également affirmé le ministre.
La Russie n'a pas été invitée à cette réunion.