Ces propos ont été prononcés lors de la conférence diplomatique pour la conclusion d’un instrument juridique international sur la propriété intellectuelle.
La partie algérienne a plaidé pour que "l’instrument international en cours de négociation reconnaisse l’obligation pour les demandeurs de brevets basés sur les ressources génétiques et les savoirs traditionnels, de divulguer l’origine ou la source de ces derniers, et que cette disposition soit assortie de mesures coercitives appropriées pour en assurer l’application"
Selon l’Algérie, la mise en place d’un tel dispositif permettrait de mieux protéger les formes de créativité et d'innovation relatives aux ressources génétiques et aux savoirs traditionnels associés.