Cependant, la mission diplomatique française n’avait pas eu de permis de démolition ni de construction, note le média. L’autorisation de fourniture de carburant n'avait pas non plus été obtenue.
Les sources de l'agence précisent que l'immunité diplomatique ne peut servir d’excuse à cette absence.
Les entreprises impliquées et Total Burkina ont été auditionnées fin avril 2024, selon l’AIB. Toutes ont reconnu ne pas avoir vérifié les autorisations requises avant le démarrage des travaux.