Selon l'édition, lors de la récente réunion des ministres des Finances du G20 au Brésil, les représentants de Riyad et Jakarta se sont montrés inquiets pour l'avenir de leurs propres avoirs en Occident.
En effet, un tel précédent pourrait mettre en danger, non seulement les intérêts de tout pays en désaccord avec les capitaux occidentaux, mais aussi l’ordre juridique international.
Or, le Président américain pousse ses alliés à trouver des moyens de mettre la main sur les quelque 260 milliards d'euros de réserves russes, rappelle le Financial Times.
Cependant, ce dossier ne fait pas l'unanimité, le Japon, la France, l’Allemagne, l’Italie restant très prudents à cet égard.
Ainsi, le ministre italien des Finances avait déclaré qu'il serait "compliqué" de trouver une base légale pour cette décision. Son homologue français avait pour sa part avancé que le fondement juridique n'existait tout simplement pas.