"La Russie, c'est un nouveau partenaire qui, en mon sens, va prendre connaissance des erreurs des autres partenaires et qui va se conformer à la réglementation en cours et qui va se conformer aux aspirations de nos autorités et aussi du peuple nigérien et que nous puissions vraiment travailler la main dans la main dans une coopération gagnant-gagnant pour que notre pays puisse sortir de l’ornière".
À propos des efforts conjoints des pays de l'AES dans la lutte anti-terroriste, l'activiste africain dit que 'c'est une fierté de décider pour nous-mêmes" et que "c'est aux Sahéliens de se battre pour leur territoire". Il a notamment tenu à souligner:
"Avec le soutien de l'état russe, nous pensons que plus jamais il y aura du terrorisme chez nous et que c'est une mission régalienne de nos armées. Il faut de la plus que quelqu'un vienne ici faire la guerre à notre place. Parce que nous ne voudrons pas que le Sahel soit notre Afghanistan. Que des forces étrangères viennent se battre après se retirer pour laisser la place aux terroristes."