Cette année, le continent dépensera la somme "astronomique" de 74 milliards de dollars pour les paiements, soit une forte augmentation par rapport aux 17 milliards de 2010, a expliqué l'économiste.
Il a ajouté que ces prêts "asymétriques" et "non transparents" nuisent à la croissance économique du continent.
M. Adesina a également dénoncé la "nature inégale des négociations" qui permet aux prêteurs de dicter leurs conditions aux nations africaines à court d'argent. Cela rend les prêts "tout simplement mauvais", a tranché le responsable.