Ils craignent que les mesures de représailles de Moscou affectent en premier lieu l’Europe et non les États-Unis.
De plus, l’utilisation des avoirs gelés enfreint le droit international et risque de décourager les investisseurs de faire confiance à l'euro.
La semaine dernière, le FMI et la Banque mondiale se sont réunis à Washington où ils ont discuté de cette problématique. Les responsables américains font pression sur leurs collègues européens réticents pour qu’ils utilisent les avoirs russes bloqués.