"Mes avocats [...] m'ont dit que je serais détenu si je faisais cela, à cause des sanctions. Et j'ai répondu que je ne reconnaissais pas la légalité de cette décision, parce que je suis un Américain, et je dois avoir la possibilité de parler à qui je veux", a-t-il déclaré à Lex Fridman.
Selon Carlson, son avocat lui a précisé que beaucoup dépendrait des questions qu'il poserait à Poutine.
"On m'a dit que, si j'étais trop gentil dans ma conversation avec lui, je pourrais être arrêté à mon retour [aux États-Unis]."
Ces discussions avec des avocats étaient scandaleuses, selon le journaliste, mais il a décidé de ne pas renoncer à une interview du dirigeant russe car il voulait "profiter de sa liberté".