* L'élite américaine "veut non seulement contenir et affaiblir la Russie, mais aussi la démembrer, car elle est trop grande et possède d'énormes richesses naturelles. Cela a été théorisé depuis des décennies".
* Les États-Unis n’ont pas compris que "l’Ukraine est un pays diversifié, abritant diverses minorités culturelles et linguistiques, roumaines, hongroises et russophiles".
* Vouloir unifier ethniquement et linguistiquement l'Ukraine "ne peut passer que par la guerre, ce qui a d'ailleurs été tenté. De 2014 à 2022, plus de 14.000 personnes ont été tuées par des attaques de forces armées dirigées par des groupes néo-nazis dans le Donbass.
* Les anciens chefs d'État français et allemand François Hollande et Angela Merkel n'ont "pas agi de bonne foi" sur les accords de Minsk et l'ont admis. Ils ont "trompé la Russie afin de continuer à réarmer l’armée ukrainienne pour qu’elle devienne la plus puissante d’Europe".
* Kiev a "franchi toutes les lignes rouges" fixées par Moscou, allant jusqu'à utiliser des armes à longue portée pour viser le territoire russe. Face aux provocations, il faut saluer "la patience du Président russe et des institutions militaires et politiques" qui s'en tiennent à une opération militaire de basse intensité.
* L'UE paie pour son soutien "fou et sans restriction à une Ukraine mourante". Les paquets de sanctions "ont eu un effet boomerang sur la population européenne".
* L'Ukraine vit des heures sombres et "ne survit que grâce à l'aide étrangère". La plupart des analystes estiment que le conflit se soldera par une victoire russe, ce qui augure aussi de fortes turbulences pour l'Otan et l'UE.