"L'échec des deux pays à mener à bien leur enquête peut provenir du fait, comme on m'a dit, que certains hauts responsables des deux pays comprenaient bien ce qu'il se passait", a-t-il écrit sur le plateforme en ligne Substack.
Pour rappel, c'est Washington qui est derrière les explosions des gazoducs, selon la propre enquête de Hersh.
Il a noté que "ni la Suède ni le Danemark ne parlaient des explosions sous-marines, même si les deux pays savaient, comme je l'ai écrit, que les États-Unis pratiquaient la plongée sous-marine dans la mer Baltique depuis des mois avant" l’incident.
Le parquet suédois a annoncé le 7 février avoir clôturé l’enquête sans aucune poursuite notifiant que celle-ci "qui a été menée sur la scène du crime", "n'est pas du ressort de la juridiction suédoise".