Dans l'avenir proche, "l’AES devra […] mettre en place un instrument d'échange pour couronner l'or", a avancé auprès de Sputnik Afrique un analyste politique burkinabè.
Une autonomie politique géostratégique doit suivre la souveraineté monétaire, puisqu’" il n'y a pas de demi-souveraineté", a affirmé Bayala Lianhoué Imhotep.
Pour lui, l’AES peut s’élargir prochainement, par exemple, avec le Togo ou le Tchad dont la délégation s’est rendue en janvier en Russie.
"C'est un indice majeur des menaces futures des nations qui vont rejoindre évidemment, et qui peuvent rejoindre évidemment cet ensemble géopolitique".