"Le Conseil a noté la récurrence des discours de haine qui conduisent souvent à la stigmatisation et à la provocation pure et simple qui proviennent principalement des réseaux sociaux et dans certains cas relayés par les médias traditionnels", a indiqué le président du Conseil, Joseph Chebongkeng Kalabubsu, dans un communiqué rendu public mercredi.
Les médias doivent éviter les comportements controversés et adhérer au fair-play et au patriotisme, a-t-il ajouté.
M. Kalabubsu a fait remarquer que les médias devaient se conformer aux exigences professionnelles et éthiques et favoriser l'unité et la cohésion sociale.