"Le Hamas ne contrôlera pas la bande de Gaza et il n’y aura pas de pouvoir civil israélien", a dit Yoav Gallant à la presse avant la réunion du cabinet.
Le plan prévoit l'intégration des structures administratives civiles existantes à Gaza dans un "gouvernement local" plus large. Celui-ci n'inclura pas les partisans du Hamas qui gouvernait l'enclave avant le début des hostilités.
Une période de transition est programmée, même si sa durée n’a pas été indiquée. Durant cette étape, les forces de défense israéliennes devraient assurer la sécurité et le contrôle des frontières de l'enclave, avec la possibilité d'y mener des raids.
Participation d’autres pays
Des acteurs externes, comme les États-Unis, des pays de l'UE, certains États arabes, dont l'Arabie saoudite, l'Égypte et les Émirats arabes unis, devraient être impliqués, selon le média. Ils pourraient participer à la sécurité intérieure et à l’administration de l'enclave, relate The Jerusalem Post.
Une participation des représentants de l'Autorité nationale palestinienne au processus d'après-guerre à Gaza n’est pas exclue, poursuit le média. Dans le même temps, le journal souligne que le ministre de la Défense préférerait minimiser son rôle ou conditionner ses responsabilités au changement de la politique à l'égard d'Israël.
Pour entrer en vigueur, ce plan doit être validé par le gouvernement israélien.