Casseroles, couvercles métalliques et louches dans les mains, elles se sont rassemblées à l'entrée principale pour accélérer le départ des militaires, a raconté une participante à un correspondant de Sputnik.
Les manifestantes ont été encadrées par des agents de sécurité et des barrières ont été placées devant le portail d'entrée.
"Nous ne voulons plus la France", "Bases militaires françaises = néocolonialisme" peut-on lire sur les pancartes des manifestantes.