La mer du Japon a dévoilé quelques secrets aux scientifiques russes qui pourront probablement s’en servir pour faire une percée dans la protection de l’environnement.
Des spécialistes de l'Institut de l'océan mondial de l’Université fédérale d'Extrême-Orient ont retrouvé "des bactéries qui ont démontré une capacité à détruire divers composants pétroliers à basse température".
La découverte a été faite au cours d'une étude à grande échelle, selon le communiqué de l’institution.
Futurs projets
À l’étape actuelle, les scientifiques se donnent comme objectif d'identifier les plus actives parmi ces bactéries et "de développer un produit biologique pour nettoyer les eaux de la mer du Japon de la pollution aux hydrocarbures".
Les spécialistes étudieront davantage le génome des 12 types de bactéries pour révéler les mécanismes du fonctionnement de leurs gènes et enzymes.
Sur la base de ces recherches, il sera possible de développer des technologies efficaces de surveillance de la pollution aux hydrocarbures des eaux marines et des technologies pour leur purification à l’avenir.