"Aujourd’hui, surtout après que les chemins de la Russie et de l’Occident se sont séparés – une situation pour laquelle nous ne sommes pas en tort – les pays occidentaux ont vivement besoin de combler le manque de ressources d’importance vitale pour le maintien de leur industrie et leur développement économique. Il est, de plus, souhaitable de le faire à des frais minimaux. Leur objectif [en Afrique, ndlr] consiste à régler des questions pour ainsi dire existentielles. Cela ressort des instruments qu’ils utilisent et qui sont le plus souvent antisportifs: des "lois" sur la restriction de l’activité de la Russie en Afrique, des sanctions, des listes d’opposition, des menaces et le chantage", a-t-il indiqué dans un entretien aux médias russes.