Paul Pogba aurait bien sollicité l’aide d’un marabout et voici pourquoi

Paul Pogba, qui se retrouve dans la tourmente médiatique depuis la publication par son propre frère de vidéos prétendant l’accabler, aurait bien payé un marabout, mais pour se protéger des blessures et non pas pour jeter un sort à Kylian Mbappé.
Sputnik
Une nouvelle tournure dans la saga rocambolesque liant les frères Pogba.
Alors qu’une enquête est instruite en France pour tentatives d’extorsion en bande organisée, Paul Pogba, considéré comme victime de ce chantage financier, aurait clarifié le rôle d’un marabout dans ce complexe dossier.
Ainsi, la star de l’équipe nationale française aurait bien admis auprès des enquêteurs avoir payé le marabout, révèle CNews. De telle manière Paul Pogba voulait se protéger de blessures. Auparavant des informations, démenties formellement par le footballeur, circulaient dans la presse au sujet d’un sort jeté à son coéquipier Kylian Mbappé.
Selon les éléments de l’enquête instruite depuis août, en mars 2022, deux individus ont exigé du sportif une somme de 13 millions d’euros. Finalement, il a payé 100.000 euros à un individu. Parmi les personnes qui l’intimidaient, Paul Pogba a affirmé avoir reconnu son frère Mathias. Une autre enquête séparée a été ouverte en Italie.

Les vidéos

Depuis le 27 août Mathias Pogba sort des vidéos dans lesquelles il charge son célèbre frère. Dans la première il a promis de faire de "grandes révélations" sur son frère Paul. La séquence, massivement relayée sur les réseaux sociaux, fait penser à une vendetta familiale. Le 30 août Mathias a publié la deuxième, assortie d’une série de tweets confus, en promettant toujours de dévoiler prochainement "les mensonges et l’imposture" de son frère.
Il a par ailleurs balayé les accusations d'extorsion à l’encontre de Paul Pogba en affirmant qu’il y avait des preuves "d'un geste consenti".
Quant au marabout, dans sa dernière vidéo Mathias Pogba affirme que son frère payait "des millions d’euros à ce sorcier sur des années" tout en remettant en question la version selon laquelle cela avait été fait pour se protéger des blessures.
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