"L'une des tâches les plus importantes dans ce contexte est de maintenir l'adhésion de tous les pays du groupe des cinq pays nucléaires au postulat de l'inadmissibilité de toute guerre entre pays possédant des armes nucléaires. Avec l'aggravation de la crise ukrainienne à cause du régime de Kiev et de ses patrons occidentaux, ce message non seulement n'a pas perdu de sa pertinence, mais a acquis une signification supplémentaire", a-t-il avancé.
"Le cours destructeur des pays de l'Otan pour ignorer nos "lignes rouges" et s'impliquer dans une confrontation avec la Russie en Ukraine, en équilibre au bord d'un conflit armé direct, est extrêmement risqué. Il est évident que cela est susceptible d’entraîner une nouvelle escalade, jusqu'à un affrontement militaire entre puissances nucléaires aux conséquences désastreuses. Ce scénario doit être évité", a-t-il poursuivi.
"Pas de place pour les fantasmes"
"L'utilisation d'armes nucléaires par la Russie n'est possible qu'en réponse à une attaque: pour la légitime défense dans des circonstances d'urgence. Il n'y a pas de place pour les spéculations ou les fantasmes ici".