«L'Afrique du Sud continue de faire face au défi de la corruption généralisée au sein de la fonction publique. Le secteur public est terni par les scandales de corruption, l'abus de pouvoir et l'abus d'autorité», a déclaré M.Seloane lors de la publication d'un rapport trimestriel sur «Le pouls de la fonction publique».
Il a soutenu que les dirigeants doivent faire preuve de leadership en prenant des décisions éthiques et des mesures disciplinaires».
Appelé il ya quelques jours devant la Commission de lutte contre la corruption pour apporter son témoignage sur une période sombre de l’histoire de l’Afrique du Sud, le Président Cyril Ramaphosa a reconnu que le phénomène de «la capture de l'Etat», qui renvoie à la corruption généralisée qui avait gangrené le pays durant le mandat de l'ex-président Jacob Zuma, a eu un «effet toxique» sur la plupart des institutions de l'Etat.
La capture de l'État a existé en tant que projet bien organisé qui a influencé les processus politiques et juridiques, a-t-il dit, arguant que les institutions de l'État en Afrique du Sud ont été affaiblies par la corruption qui a régné des décennies durant.