Une nutritionniste met en garde ce groupe de personnes contre la consommation de pêches et d’abricots

Selon une nutritionniste russe, les pêches et les abricots peuvent nuire à la santé des personnes souffrant de diabète, de maladies gastro-intestinales aggravées, de pancréatite et de gastrite, qui subissent une acidité gastrique élevée ou sont en surpoids. Pourtant, selon elle, ces fruits aident à lutter contre le cancer.
Sputnik

Consommer ce fruit rouge renforce votre système immunitaire
Dans une interview accordée au journal russe Rosbalt, la nutritionniste Inna Kononenko a expliqué quel groupe de personnes doit s’abstenir de manger des pêches et des abricots et a indiqué le nombre maximal de ces fruits que les gens peuvent ingérer pendant la journée.

Selon elle, alors que la teneur en calories des pêches et des abricots est d’environ 45 kilocalories pour 100 grammes, la portion quotidienne ne doit ainsi pas dépasser les 200 à 300 grammes. De plus, elle a souligné que l’hypernutrition avec ces fruits pouvait entraîner du surpoids.

Mme Kononenko a souligné également que les personnes atteintes de diabète, et celles qui présentent une acidité gastrique élevée ou du surpoids, ne doivent pas manger d’abricots et de pêches. En outre, selon la nutritionniste, ces fruits représentent aussi un danger pour les personnes souffrant de maladies gastro-intestinales aggravées, de pancréatite et de gastrite.

Les bienfaits pour la santé

Pourtant, d’après la nutritionniste, les abricots et les pêches sont riches en antioxydants, en flavanoïdes, qui aident l’organisme à lutter contre le cancer, à normaliser la pression artérielle et à tonifier les parois des vaisseaux sanguins.

Elle a également noté que les pêches étaient une bonne source de magnésium et de potassium. Ils sont particulièrement bons pour ceux qui souffrent de crampes dans les jambes.

«Les convulsions sont un symptôme frappant de carence en magnésium et en potassium. Et le magnésium aide aussi à lutter contre le stress et a un effet positif sur la production d'insuline», a ajouté Mme Kononenko.
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