Le Maroc a été secoué la semaine dernière suite au viol d’une petite fille de cinq ans par un membre de sa famille, dans la région d’Ouezzane, dans le nord-ouest du pays. Le choc et l’indignation suscités par ce crime a incité des associations marocaines de défense des droits de l’Homme et de l’enfance à demander aux autorités de punir le violeur avec une extrême sévérité.
Pour sa part, l’association marocaine de défense des droits de l’enfant Matkich Waldi (Touche pas à mon enfant, en arabe) a publié un communiqué condamnant fermement ce crime et appelant à l’application de la peine capitale contre les violeurs d’enfants, «tout en cherchant des peines alternatives plus sévères à l’encontre de ces criminels, y compris la castration chirurgicale», précise-t-il selon le même site d’information Al Yaoum 24.
La fillette a été présentée à un médecin de l’hôpital régional d’Ouezzane qui a confirmé les faits via un certificat médical, suite à quoi son père a déposé une plainte auprès de la gendarmerie royale, a précisé Hespress.