«A l'heure actuelle, nous nous orientons vers des pays tels que la Russie, la Chine, l'Inde et les pays de l'Amérique du Sud», a confié ce représentant officiel.
Selon lui, les étudiants syriens qui sont partis en France pour y poursuivre leurs études avant le début de la crise «continuent de le faire».
«Certains d'entre eux sont rentrés. Nous maintenons des rapports avec ceux qui poursuivent leurs études [en France], mais nous n'y envoyons plus de nouveaux étudiants», explique-t-il.
«Cela dépend de nos besoins, s'il y a en France des spécialisations intéressantes pour les universités syriennes que ne proposent pas les établissements d'enseignement supérieur d'autres pays. Mais nous donnons bien sûr la priorité à nos amis (pays partenaires, ndlr)», a souligné le responsable.
Toujours d'après M.Hadid, chaque année, 2.000 étudiants de l'Université d'Alep sont envoyés à l'étranger pour y compléter leurs études supérieures.