«Tout pays qui tentera de prendre la place de l'Iran sur le marché pétrolier sera coupable de haute trahison contre la nation iranienne […] et paiera un jour le prix de cette trahison», a lancé M.Jahangiri lors d'un discours retransmis à la télévision d'État.
Samedi, Donald Trump a affirmé sur sa page Twitter que l'Arabie saoudite avait à sa demande accepté d'accroître sa production de pétrole «jusqu'à 2 millions de barils» en raison de «troubles et dysfonctionnements en Iran et au Venezuela».
Or, selon Eshagh Jahangiri, Téhéran était prêt à «mettre en échec ce slogan des États-Unis selon lequel [l'exportation du, ndlr] pétrole iranien doit être bridée». «Nous sommes persuadés qu'avec la grâce de Dieu nous serons capables de vendre notre pétrole autant que de besoin», a souligné M.Jahangiri.