Des chercheurs de l'Université de Californie, à Los Angeles, mettent au point un nouveau moyen de protéger les données dans les réseaux numériques de demain, qui sera destiné à l'armée américaine, rapporte le portail EurekAlert.
Les scientifiques estiment que cette antiparticule permettra d'exclure quasi totalement le risque d'intrusion dans les processus du calcul quantique puisque sa charge neutre rend toutes les chaînes résistantes aux interférences extérieures.
Dans l'avenir, les scientifiques envisagent de créer des appareils ainsi que des réseaux maniant des vitesses inaccessibles même aux ordinateurs actuels les plus puissants. Selon les spécialistes, pour organiser une cyberattaque visant ces réseaux, il faudra avoir recours à des capacités arithmétiques énormes que les hackers ne posséderont pas.