La dernière place de ce classement digne de la fin du monde va à l'une des formes de vie les plus primitives, à savoir l'amibe.
«Elles sont résistants aux radiations et comme organismes unicellulaires, elles sont capables de se diviser même en présence de mutations cellulaires. En outre, les amibes peuvent se multiplier très rapidement, ce qui garantit leur survie», relate le portail Toptenz.net.
Le cafard, un être vivant qui a réussi à prendre ses quartiers aux alentours du cratère laissé après le bombardement d'Hiroshima, se classe neuvième. Cet insecte peut survivre à une dose de rayonnement d'au moins 10.000 ms, explique Die Neue Osnabrücker Zeitung. Selon Toptenz.net, un humain exposé à un tel niveau de radiation tomberait immédiatement dans un coma profond, voire mourrait en l'espace de quelques secondes.