Selon ses rapports, les étudiants de la première année doivent écrire un essai entre 500 et 900 mots sur les bénéfices d'être un homme blanc hétérosexuel, élevé en Suède et ayant une apparence nordique ou occidentale, selon le programme d'études publié sur le site universitaire.
Selon le professeur Viggo Kann cité par Nyheter Idag, les thèmes des minorités et de l'égalité de traitement figurent dans le programme depuis déjà trois ans. «Une vaste majorité» d'étudiants sont d'après lui «très positifs» à cet égard.
Pour un certain Darko Crncevic, la nouveauté en question ne constitue «rien d'autre que l'endoctrinement». Selon lui, «le postmodernisme gagne du terrain dans l'académie comme une tumeur maligne». Dans le même temps, de nombreuses voix s'élèvent en faveur de cet aspect inattendu des cours universitaires.