Le directeur de campagne de Clinton, Patti Solis Doyle, a alors suggéré à la candidate de congédier Strider, mais cette dernière a insisté pour qu'il soit suivi et qu'il perde plusieurs semaines de salaire. Selon le New York Times, la jeune femme a été réaffectée et contrainte de signer un accord de non-divulgation, est-il précisé.
«Pour assurer un environnement de travail sûr, la campagne avait un processus pour traiter les plaintes de mauvaise conduite ou de harcèlement», a déclaré Utrecht, Kleinfeld, Fiori, Partners, cité par le Daily Caller, «Lorsque des questions ont été soulevées, elles ont été examinées conformément à ces politiques, et des mesures appropriées ont été prises. Cette plainte ne faisait pas exception».
Strider faisait partie du Correct the Record, un groupe indépendant qui a soutenu la campagne de 2016 de Mme Clinton. Il a été renvoyé de ce groupe après plusieurs mois, pour harcèlement sexuel d'une jeune collaboratrice féminine.