Certaines espèces de paradisiers, aussi appelés oiseaux de paradis, avec des plumes plus sombres que la nuit existent dans les forêts australiennes, ont annoncé des chercheurs de l'Université Yale, dans le Connecticut, dans un article publié dans la revue scientifique Nature Communications.
«Des stries et des crochets sur des plumes noires des oiseaux de paradis sont placés de telle manière qu'ils forment des cavités profondes […] où la lumière ne pénètrent pas», ont expliqué Richard Prum et ses collègues dans l'article en question.
Comme l'ont souligné les chercheurs, ces plumes noires sont uniquement localisées à côté de taches brillantes.