«Des stries et des crochets sur des plumes noires des oiseaux de paradis sont placés de telle manière qu'ils forment des cavités profondes […] où la lumière ne pénètrent pas», ont expliqué Richard Prum et ses collègues dans l'article en question.
Comme l'ont souligné les chercheurs, ces plumes noires sont uniquement localisées à côté de taches brillantes.
This paper by @McCodinator is just awesome (also on New Guinea BOPs!) https://t.co/YvrIzobdnV Structural absorption by barbule microstructures of super black bird of paradise feathers
— Erik Enbody (@ErikEnbody) 9 января 2018 г.
Selon eux, les plumes de ces oiseaux ressemblent beaucoup aux structures des métamatériaux, à savoir des structures artificielles composées de petits morceaux ou nanoparticules, capables d'interagir avec la lumière ou d'autres formes du rayonnement électromagnétique.