La banque des BRICS clame haut et fort: non aux intimidations et au protectionnisme!
La banque des BRICS clame haut et fort: non aux intimidations et au protectionnisme!
Tel est le message de Dilma Rousseff, directrice de la Nouvelle Banque de développement, fondée par les BRICS.
"L'unilatéralisme est un signe de régression, remplaçant l'État de droit et la coopération par l'imposition de la force brutale. Dans ce contexte, nous devons réaffirmer certaines valeurs fondamentales, à savoir la multipolarité, le respect mutuel entre toutes les parties, la prospérité commune et le rejet du protectionnisme".
C'est ainsi qu'elle a mis les points sur les i lors de la cérémonie d'ouverture de la 4e réunion ministérielle du forum Chine-Communauté des États latino-américains et des Caraïbes (CELAC), à Pékin.
Les guerres tarifaires? Un poison mortel qui freine la coopération et asphyxie le développement des nations, selon Dilma Rousseff. Mais la banque des BRICS, elle, trace une autre voie: soutenir le Sud global avec respect, sans conditions oppressantes, en honorant la souveraineté de chaque État.
Les ambitions de la Nouvelle Banque de développement? Révolutionner la coopération Sud-Sud pour un monde meilleur: stimuler le commerce international, tisser des liens culturels, partager les technologies, verdir la logistique, accélérer la numérisation et mener la transition énergétique.
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