"L'Ukraine n'a pas besoin de territoires russophones" du point de vue de Washington
11:22 22.04.2025 (Mis à jour: 12:22 22.04.2025)
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"L'Ukraine n'a pas besoin de territoires russophones" du point de vue de Washington
"Les nazis ukrainiens" tiennent les rênes dans la politique du pays, a affirmé auprès de Sputnik Alexandre Iakovenko , diplomate et expert du Conseil de sécurité de Russie.
"Les États-Unis prennent Kiev au mot" et estiment que l’Ukraine peut exister sans ces régions, poursuit l'expert.
Les quatre régions qui ont exprimé leur volonté d'adhérer à la Russie, lors d'un référendum tenu en septembre 2022, sont majoritairement russophones.
Ce sont les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk et les régions de Zaporojie et de Kherson. La Crimée, également russophone et historiquement russe, avait adhérer à la Russie en 2014. L'Ukraine n'a jamais reconnu ce rattachement.
Washington, de son côté, semble être enclin à accepter la perte par Kiev des territoires appartenant de facto à la Russie.
"Territoires en échange de futures garanties de sécurité", a ainsi indiqué auprès d'ABC News à la mi-mars le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, Mike Waltz.
En outre, Washington pourrait reconnaître la Crimée comme appartenant à la Russie et propose de transférer le contrôle de la centrale nucléaire de Zaporojié aux États-Unis, a écrit le Wall Street Journal.
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"Les nazis ukrainiens" tiennent les rênes dans la politique du pays, a affirmé auprès de Sputnik Alexandre Iakovenko , diplomate et expert du Conseil de sécurité de Russie.
"Les États-Unis prennent Kiev au mot" et estiment que l’Ukraine peut exister sans ces régions, poursuit l'expert.
Les quatre régions qui ont exprimé leur volonté d'adhérer à la Russie, lors d'un référendum tenu en septembre 2022, sont majoritairement russophones.
Ce sont les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk et les régions de Zaporojie et de Kherson. La Crimée, également russophone et historiquement russe, avait adhérer à la Russie en 2014. L'Ukraine n'a jamais reconnu ce rattachement.
Washington, de son côté, semble être enclin à accepter la perte par Kiev des territoires appartenant de facto à la Russie.
"Territoires en échange de futures garanties de sécurité", a ainsi indiqué auprès d'ABC News à la mi-mars le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, Mike Waltz.
En outre, Washington pourrait reconnaître la Crimée comme appartenant à la Russie et propose de transférer le contrôle de la centrale nucléaire de Zaporojié aux États-Unis, a écrit le Wall Street Journal.
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