Ces pourparlers "n'est pas une bonne nouvelle" pour Kiev, il ne respectera pas la trêve énergétique

© AP Photo / Efrem LukatskyUn officier ukrainien observe le tir d'un obusier automoteur vers des positions russes sur la ligne de front, près de Bakhmout (Artiomovsk), dans la région de Donetsk, en Ukraine, le lundi 25 mars 2024.
Un officier ukrainien observe le tir d'un obusier automoteur vers des positions russes sur la ligne de front, près de Bakhmout (Artiomovsk), dans la région de Donetsk, en Ukraine, le lundi 25 mars 2024. - Sputnik Afrique, 1920, 21.03.2025
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C'est l'avis de Laurent Brayard, reporter français de guerre, qui analyse pour Sputnik Afrique la position de Kiev concernant la suspension des attaques sur les infrastructures énergétiques, qualifiée de pas en arrière par Zelensky.
Kiev ne voit pas de bon œil cette initiative car elle intervient après que les Occidentaux ont donné le feu vert pour utiliser leurs armes dans les frappes en profondeur de la Russie, décortique le journaliste.
Selon lui, un cessez-le-feu plus large permettrait à l'armée ukrainienne de se reposer et fortifier ses positions.
"Donner du temps à ces gens, c'est effectivement leur permettre de mieux s'armer, mieux se défendre, et ce sera du sang russe qui sera versé plus tard", alerte-t-il.
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