"Ils ont raison": c'est normal que l'AES expulse la France, affirme un homme politique guadeloupéen

© SputnikLe général Abdourahamane Tiani du Niger (centre), le colonel Assimi Goïta du Mali (à gauche) et le capitaine Ibrahim Traoré (à droite) du Burkina Faso au 1er sommet des dirigeants de l'Alliance des Etats du Sahel (AES), le 6 juillet 2024
Le général Abdourahamane Tiani du Niger (centre), le colonel Assimi Goïta du Mali (à gauche) et le capitaine Ibrahim Traoré (à droite) du Burkina Faso au 1er sommet des dirigeants de l'Alliance des Etats du Sahel (AES), le 6 juillet 2024
 - Sputnik Afrique, 1920, 08.02.2025
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"Il faut effectivement que les États africains reprennent le contrôle du destin de leur peuple", prône auprès de Sputnik Afrique Jean-Jacob Bicep, chef de l'Union populaire pour la libération de la Guadeloupe.
Le Sud global a envie de s'unifier pour en finir avec l'hégémonie occidentale, surtout dans l'économie, souligne le politicien. Cette unification vise aussi à changer l'équilibre actuel de la force militaire, ajoute-t-il.
La domination des puissances occidentales s'estompe, constate M.Bicep, également auteur de l'idée du Front international de décolonisation.
En outre, il est nécessaire de réformer le Conseil de sécurité de l'Onu pour que le continent africain y soit représenté de manière permanente, avance-t-il.
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