Kiev commet des atrocités de masse, un Tribunal international en a des preuves
19:32 28.01.2025 (Mis à jour: 21:15 28.01.2025)
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Des milliers de victimes ont témoigné de crimes du régime de Kiev, tous répertoriés dans un ouvrage réalisé par Maxime Grigoriev, président du Tribunal public international pour les crimes des néo-nazis ukrainiens, comme il l'a indiqué à Sputnik.
De nombreuses preuves des exactions perpétrées dans les régions contrôlées par le régime de Kiev ont été compilées dans un livre intitulé "Crimes de guerre du régime de Kiev", a expliqué à Sputnik Maxime Grigoriev, président du Tribunal public international pour les crimes des néo-nazis ukrainiens et participant à l'opération militaire spéciale.
Kiev commet des atrocités de masse, un Tribunal international en a des preuves.
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De nombreux témoignages de victimes sont répertoriés dans un ouvrage intitulé "Crimes de guerre du régime de Kiev", a annoncé à Sputnik Maxime Grigoriev, président du Tribunal public international… pic.twitter.com/iqUXV8vp9R
"Des gens sont abattus, y compris lors de fusillades de masse. On tire avec des armes légères, des mortiers, de l'artillerie. Ils ciblent des citoyens russes, mais aussi des habitants des territoires qui sont encore contrôlés par l'armée ukrainienne […]. Pourquoi? Parce ce sont des Russes, des russophones. Pour le régime de Kiev, ce sont des personnes de seconde zone. Des ‘sous-hommes’, pour reprendre la terminologie nazie", explique le responsable.
Selon lui, les militaires ukrainiens "disent franchement à ces gens, 'vous êtes de la biomasse'".
"Ils disent: 'ces terres sont à nous, elles sont ukrainiennes, mais les gens qui y habitent ne sont pas des nôtres. Donc si vous n'y êtes pas, c'est encore mieux. Ils disent carrément 'Nous vous détruirons pendant la retraite'", a ajouté le responsable.
Le Tribunal public international pour les crimes des néo-nazis ukrainiens a été mis en place en 2022 sur l'initiative des défenseurs des droits de l'homme, journalistes et juristes de plusieurs pays. Il a interrogé plus d'un millier de victimes directes, y compris dans la région de Koursk, où les forces ukrainiennes massacrent les civils au cours de leur retraite.