https://fr.sputniknews.africa/20241114/paris-a-t-il-envisage-une-intervention-militaire-au-niger-apres-le-coup-detat-1069226779.html
Paris a-t-il envisagé une intervention militaire au Niger après le coup d'État?
Paris a-t-il envisagé une intervention militaire au Niger après le coup d'État?
Sputnik Afrique
En tout cas, 2.000 soldats français avaient été alors déployés en urgence en Côte d'Ivoire, selon l'envoyé spécial d'Emmanuel Macron en Afrique. 14.11.2024, Sputnik Afrique
2024-11-14T12:27+0100
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"Quand il y a eu la crise au Niger, on a été capable d’installer à Abidjan 2.000 hommes en quelques heures", a ainsi rapporté Jean-Marie Bockel lors de son audition devant la Commission de la défense de l'Assemblée nationale.Cette déclaration fait suite aux accusations portées par les nouvelles autorités nigériennes contre la France, deux mois après le coup d'État en juillet 2023. À l'époque, Paris a été épinglé pour avoir déployer ses forces dans des pays voisins, ce qu'il a toujours nié.Pourtant, le Président français a appuyé une solution militaire qui était préparée par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour restaurer au Niger le pouvoir de Mohamed Bazoum, le Président déchu. Une intervention qui n'a finalement pas été osée.
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En tout cas, 2.000 soldats français avaient été alors déployés en urgence en Côte d'Ivoire, selon l'envoyé spécial d'Emmanuel Macron en Afrique.
"Quand il y a eu la crise au Niger, on a été capable d’installer à Abidjan 2.000 hommes en quelques heures", a ainsi rapporté Jean-Marie Bockel lors de son audition devant la Commission de la défense de l'Assemblée nationale.
Cette déclaration fait suite aux accusations portées par les nouvelles autorités nigériennes contre la France, deux mois après le coup d'État en juillet 2023. À l'époque, Paris a été épinglé pour avoir déployer ses forces dans des pays voisins, ce qu'il a toujours nié.
Pourtant, le Président français a appuyé une solution militaire qui était préparée par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour restaurer au Niger le pouvoir de Mohamed Bazoum, le Président déchu. Une intervention qui n'a finalement pas été osée.
