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Autonomie énergétique, alimentaire: les aspirations africaines
Autonomie énergétique, alimentaire: les aspirations africaines
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Interrogé par Sputnik Afrique lors du congrès agricole AsiaExpo, le président de l’association panafricaine l’Union Paix et Sécurité Africaine (APSU) salue la... 24.10.2024, Sputnik Afrique
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Roll Stéphane Ngomat partage auprès de Sputnik Afrique sa vision des voies africaines de développement."La Russie est un partenaire fiable, clé pour le développement de l'Afrique", dit-il.️ Cette interaction, selon lui, représente "un partenariat gagnant-gagnant, car bien sûr, les Russes ne le font pas gratuitement, mais l'Afrique bénéficie également de ce type de partenariat".Dans ce contexte, l’expert souligne l’importance du transfert de technologies, car "à la fin, les Africains doivent être capables de maintenir les infrastructures construites par les partenaires".Un autre objectif est d’atteindre l’autosuffisance alimentaire: "d'après les statistiques, l'Afrique dépense plus d'un milliard de dollars par an pour l'importation de nourriture. Et nous ne le voulons plus, nous voulons produire localement parce que nous avons des terres arables. Comme je le disais aussi, 65% des terres arables dans le monde sont en Afrique". L’Afrique doit assurer sa propre capacité à cultiver des aliments de base tels que le maïs, le manioc, le riz et le haricot, souligne-t-il.Pourtant, ces objectifs ne peuvent être atteints que dans le cas d'une "Afrique pacifiée, car on ne peut pas parler de développement sans parler de paix".
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Autonomie énergétique, alimentaire: les aspirations africaines
Interrogé par Sputnik Afrique lors du congrès agricole AsiaExpo, le président de l’association panafricaine l’Union Paix et Sécurité Africaine (APSU) salue la fréquence accrue des contacts entre Moscou et le continent africain: "La Russie est un partenaire fiable, clé pour le développement de l'Afrique".
Roll Stéphane Ngomat partage auprès de Sputnik Afrique sa vision des voies africaines de développement.
"La Russie est un partenaire fiable, clé pour le développement de l'Afrique", dit-il.️ Cette interaction, selon lui, représente "un partenariat gagnant-gagnant, car bien sûr, les Russes ne le font pas gratuitement, mais l'Afrique bénéficie également de ce type de partenariat".
Dans ce contexte, l’expert souligne l’importance du transfert de technologies, car "à la fin, les Africains doivent être capables de maintenir les infrastructures construites par les partenaires".
Un autre objectif est d’atteindre l’autosuffisance alimentaire: "d'après les statistiques, l'Afrique dépense plus d'un milliard de dollars par an pour l'importation de nourriture. Et nous ne le voulons plus, nous voulons produire localement parce que nous avons des terres arables. Comme je le disais aussi, 65% des terres arables dans le monde sont en Afrique". L’Afrique doit assurer sa propre capacité à cultiver des aliments de base tels que le maïs, le manioc, le riz et le haricot, souligne-t-il.
Pourtant, ces objectifs ne peuvent être atteints que dans le cas d'une "Afrique pacifiée, car on ne peut pas parler de développement sans parler de paix".