https://fr.sputniknews.africa/20240930/lex-chef-des-forces-speciales-reconnait-avoir-planifie-une-operation-de-destabilisation-au-faso-1068481347.html
L’ex-chef des forces spéciales reconnaît avoir planifié une "opération de déstabilisation" au Faso
L’ex-chef des forces spéciales reconnaît avoir planifié une "opération de déstabilisation" au Faso
Sputnik Afrique
Dans une vidéo diffusée sur la chaîne nationale, Ahmed Kinda, ancien commandant des forces spéciales du Burkina Faso, explique comment l’opération a été... 30.09.2024, Sputnik Afrique
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Un extrait vidéo a été diffusé le 29 septembre par la chaîne nationale RTB. D’une durée de 4 minutes, il montre 3 hommes.L’un d’eux, Ahmed Kinda, ancien commandant des forces spéciales du Burkina Faso, explique comment l’opération a été planifiée, avec quelles ressources humaines et matérielles.Il affirme avoir demandé 150 "mercenaires centrafricains", de l’armement et du matériel de communication. Le groupe devait être équipé de fusils AK-47, ainsi que de 10 mitrailleuses lourdes PKM, de 10 lance-roquettes RPG-7, de 4 mortiers.L'homme dit avoir été interpellé à une gare routière à Niamey le 30 août, alors qu’il attendait des personnes censées lui présenter les caches d’armes.️Le complot a été déjoué, avait fait savoir le 23 septembre le ministre burkinabé de la Sécurité. Les autorités ont alors promis de fournir prochainement des preuves matérielles.
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Dans une vidéo diffusée sur la chaîne nationale, Ahmed Kinda, ancien commandant des forces spéciales du Burkina Faso, explique comment l’opération a été planifiée, avec quelles ressources humaines et matérielles.
Un extrait vidéo a été diffusé le 29 septembre par la chaîne nationale RTB. D’une durée de 4 minutes, il montre 3 hommes.
L’un d’eux, Ahmed Kinda, ancien commandant des forces spéciales du Burkina Faso, explique comment l’opération a été planifiée, avec quelles ressources humaines et matérielles.
Il affirme avoir demandé 150 "mercenaires centrafricains", de l’armement et du matériel de communication. Le groupe devait être équipé de fusils AK-47, ainsi que de 10 mitrailleuses lourdes PKM, de 10 lance-roquettes RPG-7, de 4 mortiers.
L'homme dit avoir été interpellé à une gare routière à Niamey le 30 août, alors qu’il attendait des personnes censées lui présenter les caches d’armes.
️Le complot a été déjoué, avait fait savoir le 23 septembre le ministre burkinabé de la Sécurité. Les autorités ont alors promis de fournir prochainement des preuves matérielles.
